jeudi 28 février 2008

Cal

Hello tout le monde !

Voila un message que je prepare depuis quelques temps, histoire de vous presenter le campus de l'universite, dont le nom officiel "University of California Berkeley", est certes imposant mais un peu longuet pour etre utilise au quotidien. Du coup, elle est affectueusement appelee "Cal" par les locaux, tout simplement. Je vous emmene donc dans un petit tour du campus en images ; ca n'a pas du tout vocation a etre exaustif, c'est plutot une (serie de) photo(s) du campus vu par mes yeux aujourd'hui, avec les lieux que j'apprecie et que je croise au quotidien. Du coup, cette serie est probablement destinee a etre completee par la suite... Allez, assez bavarde, c'est parti !

Je ne resiste pas, et commence par mon batiment prefere (de loin), la bibliotheque principale : "The Doe Library", du nom du genereux donateur qui a finance sa construction.

L'exterieur est deja pas mal, mais mon coup de coeur va a la salle de lecture, tout simplement grandiose :

Mobilier en bois massif, hauteur de plafond demesuree, on se croirait presque dans une cathedrale, la lumiere en plus. Le silence est de rigueur, et du coup meme lorsque la salle est remplie de monde (la photo est tout sauf un exemple : je l'ai prise a l'ouverture le matin pour ne pas deranger. Notez quand meme la presence d'etudiants zeles qui etaient la des l'ouverture des portes...), il regne une atmosphere impressionante, siderale. Concession a la modernite, les pieds des lampes sur les tables abritent des prises electriques pour que les gens puissent brancher leur ordinateur portable. J'adore cette salle, et j'y vais regulierement pour bouquiner, concentration assuree.

L'icone lo-Cal-e, c'est la Sather Tower, que tout le monde appelle le "Campanile" (litteralement, tour avec des cloches). Cette tour fait tout de meme 93 metre de hauteur, et on peut y monter ; il parait que de la haut la vue (notamment sur la baie) est spendide, il faut que je prevoie ca un jour ou le coucher de soleil s'annonce bien. Promis, photo un de ces jours. En attendant, voila la bestiole :

L'horloge est a l'heure, vous pouvez donc en conclure, vu qu'il fait jour, que je fais tout sauf bosser en pleine apres-midi. C'est du propre tiens.

Bon, je m'en voudrais de vous laisser l'impression que tout-il-est-beau-tout-il-est-propre, alors voila de quoi briser le mythe. C'est par la que j'arrive en velo tout les matins pour rejoindre le batiment qui m'heberge en journee ; coin sombre, poubelles, travaux, rien n'y manque !

Le bout de batiment que vous apercevez au fond a droite, c'est le "Cory Hall", ma deuxieme maison. D'ailleurs en farfouillant un peu sur la photo vous devriez pouvoir lire le "ry" de Cory quelque part (c'est un peu comme jouer a "ou est Charlie ?").

Autre lieu que je commence a croiser frequement, les vestiaires qui menent (entre autres) a la piscine. J'aime beaucoup cet alignement tres ordonne des casiers ; moquette au sol, grand luxe (mais il faut se secher avant de marcher dessus en sortant de la douche).


Enfin, notre tour d'horizon va se terminer avec les marches du Sproul Plaza, dont nous avions deja eu l'occasion de parler. Comme vous pouvez le constater, c'est toujours tres anime (photo prise aux environs de midi), avec de nombreux kiosques d'associations en tout genre.

Ce jour la, certains d'entre eux etaient particulierement en forme !



Voila, c'est fini pour aujourd'hui !
A tres bientot
ROdolphe

mercredi 27 février 2008

Brouillardasse

Hello,

Je m'etais dis qu'un jour il faudrait que je vous parle du brouillard de San Francisco, dont la renommee s'etend bien au dela des frontieres de la ville. Et puis en fait je vais pas vous en parler. Voui. Parce qu'on dit qu'une image vaut mille mots, auquel cas il aurait fallu un paquet de mots pour vous decrire ca :

(cliquez sur l'image pour acceder a la video)


ROdolphe

P.S : celui qui me donne l'equivalent-mots de tout ca gagne pleeeeiiiinnnn de cookies.

samedi 23 février 2008

Big picture

Hello,

Les cliches ont la vie dure, et vous vous imaginez donc qu'aux Zetats Zunis, tout est (plus) gros : les voitures, les fours (je sais pas trop pourquoi je prends cet exemple, sans doute parce que maitenant je peux faire cuire plusieurs brownies a la fois ;-), les autoroutes, etc... Eh bien, ce coup-ci, je ne vais pas vous contredire, puisque mes colocs possedent l'objet ultime, l'instrument de cuisine dont j'ai toujours reve, le seul enfin a meme de satisfaire mon inextinguible attrait pour cet epice pourtant si simple... suspense... j'ai nomme : le moulin a poivre geant !
Rhhaaaaaaaa, vous pouvez pas vous imaginer le bonheur que c'est que de pouvoir poivrer a outrance en quelques tours de moulin (et ce n'est pas mon ancien coloc qui me contredira !). Du coup, j'ai pu revenir a une alimentation saine et equilibree, comme l'illustre la photo ci-dessous.

(sous les petits broyats de poivre, des pates)

Oui, parce que manger, ici, c'est tout un defi. Le midi, chacun mange dans son coin en 24 secondes chrono, c'est vraiment LE truc le plus dur pour l'instant. Je pers pas espoir de reussir un jour a leur faire comprendre le concept de la pause dejeuner, mais comme on dit, va y'avoir du boulot. Pourtant, il y a une foultitude de petits restos autour du camps, proposant des saveurs du monde entier, en partant du Mexique (bien evidemment) pour arriver jusqu'a la chine, et meme un peu plus loin. Du coup, quand il fait beau, je me prends souvent un plat en emporter que je vais deguster du bout des baguettes (j'ai un peu perdu de ma dexterite post voyage en chine, mais ca commence a revenir. Charles, on se refait un concours d'attapper de cacahouettes quand tu veux !). Le soir, je cuisine un peu dans l'esprit francais : c'est possible de trouver a peu pres les memes produits que chez nous... a condition d'y mettre le prix ! Les fruits et legumes sont dans l'ensemble accessibles, par contre le moindre passage chez le boucher se sanctionne par un allegement significatif du portefeuille. La bonne nouvelle, c'est que du coup c'est plus facile de se farcir la montee du retour en velo ;-) Bon, et surtout, je trouve de quoi faire mes gateaux, et j'ai donc commence mon "operation seduction" au labo avec un brownie ma foi plutot reussi. Et vu le boulot qui s'annonce pour le mois de mars, j'ai comme dans l'idee qu'il va falloir au moins un equivalent-brownie par semaine pour pouvoir tenir le coup (question de sucre).

Voila, temps pourri toute la semaine derniere, et ce samedi apres midi ne deroge malheuresement pas a la regle. Comme il y a 98% de chances que ce soit pareil demain, vous n'aurez surement pas droit a de nouvelles photos cette semaine (a moins que vous ne teniez vraiment a voir des photos du jardin sous la pluie). Mille excuses, j'espere que mes e-lecteurs sauront me pardonner.

Muxus humides,
ROdolphe

dimanche 17 février 2008

Chimney Rock

De belles images pour se raffraichir les retines apres le message precedent, en provenance directe de Chimney Rock, pointe de terre au Nord de San Francisco, qui separe la baie de l'ocean pacifique.

On n'etait ni a la dent du chat, ni a la pointe du raz, mais y'avait des elans et des elephants (de mer, certes...).
Sont-ils pas mignons a nous regarder tous ?


Cliquez fort pour voir les bebetes en plus gros


La, je crois qu'on est au bout


Oooooooh, la belle rouge !

Et celle-ci est baptisee "rayon de soleil bienvenu sur une jolie maison blanche"

Bonne nuit, oups, journee a tous ;-)
Rodolphe

mardi 12 février 2008

The Berkeley Voice

C'est le nom d'un canard (coin coin) local, et c'est accessoirement bien porte au vu des nouvelles de la semaine passee qu'il relate. Je m'explique.

Tout d'abord, une petite lecon d'histoire, pour remettre les choses dans leur contexte. Dans les annees 60, Berkeley a ete un des temples de la contestation ainsi que de la culture Hippie.
Cette derniere, s'etait exportee au dela du centre de San Francisco, et plus precisement du quartier de Haight-Ashbury, aussi appele "Hashbury", qui avait fini par sombrer dans la violence (c'est le probleme avec les Hippies : ils commencent par vous taper une glut (glutte ?) dans le frigo, et cinq minutes apres c'est le bazar).
Mais surtout, Berkeley est associee au "Free Speech Movement", un peu l'equivalent du Mai 68 de chez nous. La contestation s'est etendue sur toute l'annee universitaire 64-65, avec au centre des revendications le desir des etudiants de faire lever une regle interne a l'universite leur interdisant de mener toute action politique sur le campus (et meme un petit peu autour), et le droit au "Free Speech". Sit-in, manifestations, arrestations en masse (800 etudiants d'un coup le 3 decembre 1964), tout y est passe. Le president de l'universite finit par lacher du lest, et leur accorder le droit a l'action politique sur un endroit bien precis du campus, les marches du "Sproul Hall", autorisant meme d'installer des tables pour poser des tracts, des affiches, faire signer des petitions... Aujourd'hui encore, il y a une animation incroyable tous les midis autour de ces marches, avec de nombreuses associations de tout bord qui tentent d'haranguer la masse d'etudiants qui rejoignent "Telegraph Avenue", ou l'on trouve... les petits restos du midi ;-) Comme quoi c'est bien fait.
Globalement, ca s'est quand meme bien assagi depuis les annees 60, mais la ville reste bien ancree a gauche. D'ailleurs, c'est ici qu'on trouvera des 1965 un des points de depart majeurs du mouvement contre la guerre du VietNam.

Ce qui me permet de conclure le chapitre historique pour faire une transition toute naturelle vers l'actualite.

Premiere etape : debut 2007, le bureau de recrutement de l'armee americaine demenage d'Oakland, ville voisine, a Berkeley, pour etre plus proche de l'universite (et accessoirement des etudiants...).

Deuxieme etape : septembre 2007, un groupe s'appelant "Code Pink: Women for Peace" commence a manisfester devant ledit bureau. Initialement lance par des femmes, le mouvement rassemble aujourd'hui hommes et femmes, et souhaite, pour faire simple, arreter la guerre en Irak ainsi que les autres a venir (sic), et rediriger les ressources vers l'education, la sante, et l'enrichissement de la vie (re-sic).

Bon, c'est maintenant que ca commence a etre croustillant.

Troisieme etape : le 29 janvier, le conseil municipal vote deux arrets :
  • le premier, c'est de lever le besoin d'un "permis-de-faire-du-bruit" pour les gens de Code Pink, afin qu'ils puissent utiliser des hauts-parleurs pour mieux se faire entendre. Et puis aussi de leur accorder des parkings gratuits pour qu'ils aient de la place pour s'installer (ce qui, soit dit en passant, a provoque l'ire des commercants locaux, qui eux aussi aimeraient bien avoir leur places de parkings privees, et gratuites).
  • le second, c'est l'envoi d'une lettre officielle aux militaires locaux pour leur dire qu'ils sont des "intrus inopportuns" et qu'ils "ne sont pas les bienvenus". Voila, ca, c'est dit. Ca a le merite d'etre clair.
Derniere etape en date, celle relatee par l'exemplaire du "Berkeley Voice" que je tiens entre les pattes, date du 8 Fevrier (je sais, je suis un poil a la bourre, mais que voulez vous, c'est tout le probleme d'etre journaliste-historien non professionnel). C'est titre (premiere de couverture) "Vote on Marines could cost Berkeley". Le vote sur les "Marines" pourrait couter cher a Berkeley. Voui. Parce que 6 senateurs republicains (droite) ont introduit une loi visant a supprimer 2.3 millions de dollars de subvensions versees a la ville. Parce que "Berkeley doit apprendre que ses actions ont des consequences", dixit ces messieurs les senateurs. La ou ca devient ironique (au 18eme degre), c'est lorsqu'on regarde a quoi etaient destines ces fonds : programme de cantine "saine" pour les ecoles locales, fondations pour les handicapes, ferry San Francisco - Berkeley, systemes de communication pour la police et les pompiers, aide a la publication d'un journal historico-politique.

Inutile de preciser que le journal prend ouvertement parti... je vous laisse deviner pour qui (pas de cookie a gagner cette fois non plus, c'est trop facile).

On en est la. La situation embete un peu tout le monde. La mairie tout d'abord, bien evidemment, qui considere la question de re-voter l'arret concernant la lettre envoyee aux militaires, histoire de l'annuler. Code Pink (et d'autres) hurlent au scandale et promettent de continuer leur action. Ceci dit, ironie du sort (ou perversite averee, c'est selon), le resultat de leurs actions a pour l'instant ete exactement l'inverse de l'effet voulu (coupure des fonds pour l'education et la sante publique). Les militaires eux, disent, que "meme si l'on ne peut pas predire le futur" (ah bon ?), ils ne voient pas pourquoi ils partiraient. Le comportement de Code Pink et de la mairie ne fait pas l'unanimite (surtout chez les commercants ;-), mais les gens sont ici resolument hostiles a la guerre en Irak (ce qui explique pourquoi une large majorite des Berkeleyiens ont vote Obama plutot que Clinton lors des primaires democrates. Cette chere Hillary reste en effet assez vague sur ses intentions sur ce sujet, alors qu'Obama s'est tres clairement positionne en faveur d'un retrait rapide). Ca me fait l'impression d'un pays bourre de contradictions, mais que ca n'a pas l'air de gener plus que ca. Impression a confirmer ou a infirmer par la suite.

Voila voila, mes investigations et reflexions s'arretent la pour aujourd'hui. Je vous donnerai le fin mot de l'histoire -si fin mot il y a- lorsque la Voix de Berkeley me l'apprendra.

Et puis pour conclure, quelques nouvelles perso en quelques mots : apres une semaine de lecture intensive au labo, j'ai fini par depiler le gros tas de papiers qui m'attendait. Plus que deux bouquins et quelques bricoles a lire, et je pourrai peut etre attaquer le "vrai" boulot. Premier entrainement natation avec mon tout nouveau club de triathlon il y a quelques heures (vendredi soir), ca fait du bien de nager de nouveau apres presque 3 semaines d'arret ! Ce we, petite balade prevue avec mes colocs et des amis a eux, normalement vous aurez droit a quelques photos (si vous etes sages).

Bises a tous, vous me manquez
Rodolphe

P.S : Bravo a ceux qui sont arrives jusqu'au bout. Finalement, vous meritez tous un cookie ;-)

mercredi 6 février 2008

Escapade a San Francisco

Coucou tout le monde,

Sitot parti de San Francisco pour m'installer a Berkeley, sitot revenu pour faire plus ample connaissance avec cette ville pleine de promesses.

Alors le premier constat est simple : c'est pentu. Les celebres rues en pente immortalisees par Steve McQueen dans "Bullit" (ce coup ci, pas besoin de chercher la reference, je vous la donne) ne sont pas qu'une legende, et mes guiboles risquent de s'en souvenir pendant quelques jours... En image, ca donne ca (tiens, d'ailleurs, juste au cas ou : je ne sais pas si tout le monde a remarque, mais vous pouvez agrandir -substantiellement- les images en cliquant dessus) :

Le deuxieme constat est sans appel : c'est hallucinamment cosmopolite. On passe rapidement d'un quartier a un autre, d'une communaute a une autre, d'une ambiance a une autre. Latinos, banquiers, hippies, Porsches rutilantes, maisons victoriennes, chinois qui font leur courses, tout le monde a sa place. Et encore, je n'ai pu traverser que quelques quartiers, loin de la totalite de la ville... Ci-dessous, l'illustration en image de la superposition de deux quartiers aux allures decidement bien differentes.

Oh ! J'allais oublier de vous presenter mes deux compagnons d'echappee lors de cette journee : Bart & Stevie. Stevie, c'est celui en rouge sur la photo ci-dessous ; on ne se connait que depuis jeudi soir, mais le premier contact a ete tres bon. C'est avec lui que j'ai sillonne les rues aujourd'hui et il y fort a parier qu'on se refasse quelques petits -et gros- periples ensemble. Bart, c'est celui en bleu ; c'est l'equivalent du RER local, et c'est lui qui m'a permis de relier Berkeley a San Francisco autrement qu'a la nage (on a beau etre triathlete, c'est tout de meme pas evident de nager avec son velo).


La conclusion de la journee, c'est qu'il me faudra bien plus qu'un dimanche pour explorer toute la ville... Ca tombe bien, il en reste 51 a venir ;-)

Bonne semaine a tous,
Rodolphe

Maison !

Ca, c'est mon quartier :



Ca, c'est ma rue :



et ca, c'est ma maison :



[NB : desole pour les photos "un peu" a contrejour, j'ai pris ca quand j'ai pu...]

Voila voila, j'ai emmenage ! Ca fait quelques jours deja (depuis lundi soir en fait) que j'ai elu domicile dans une graaaaaaaaaaaaande maison. Bon, vu que je n'ai toujours pas gagne au loto, je dois bien vous avouer que je ne suis pas tout seul dedans (et pis de toute facon, je crois que je m'ennuyerais vite tout seul dans une grande maison comme celle la). Mes nouveaux colocataires se nomment donc Jack, Amira, et Erin, la maison appartenant aux deux premiers sus-cites. Ah oui, il y a aussi Seth (ortographe incertaine, et elle n'a pas d'email pour verifier...), quadrupede du genre canin, race indeterminee, mais incroyablement sage. La maison est organisee sur deux etages : cuisine, salle a manger, bureau/chambre d'amis*, et salon en haut ; chambres (3), salles de bains (2) et buanderie en bas. Et puis comme si la surface interieure ne suffisait pas, on a meme droit a un petit jardin, dans lequel trone un citronnier qui donne juste devant ma fenetre... Mais le vrai gros bonus, c'est la vue sur la baie qu'on a du salon, absolument completement magnifique le soir venu. D'ailleurs, je ne resiste pas a l'envie de vous en donner un apercu :



Bon, je ne vous ai pas mis de photo de ma chambre, vu qu'elle manque un peu de decoration au jour d'aujourd'hui, mais promis, ca viendra (ceci dit vous pouvez vous en faire une idee en allant voir les autres photos de la maison prises par Jack & Amira, en cliquant ici)

Le tout est situe un poil au Nord de l'universite, sur les hauteurs (de Beverly, pardon, Berkeley Hills). Vu par Google, ca ressemble a ca :

View Larger Map

Pour l'instant, je prends le bus pour aller au boulot (5 minutes de marche puis environ 10 minutes de bus, puis re-10 de marche), mais, ne vous en faites pas le velo ne devrait pas tarder a arriver (z'avaient pas ma taille de cadre en stock). Ce qui est chouette, c'est que vue la topographie locale, je n'aurai pas un coup de pedale a donner le matin, et ca me fera de l'exercice le soir. Cool ;-)

Pour ceux qui ont envie de venir voir de plus pres, c'est tres simple, voila l'adresse :
478 Vermont Ave
Berkeley, CA 94707
USA

Et puis si vous vous perdez en route, vous pouvez m'appeler sur mon (tout nouveau !) telephone portable au + 1 510 926 7500. Et si vous voulez me prevenir avant, vous pouvez passer par mon mail, ou alors par skype, ou je m'appelle tres poetiquement rodolphe_hel. Et si avec tout ca y'en a qui trouvent encore des excuses pour ne pas venir, moi je dis que c'est vraiment de la mauvaise volonte !


A tres bientot
ROdolphe

P.S : incorrigible que je suis, j'ai (encore !) glisse une reference dans ce billet. Saurez-vous la retrouver ?


* merci d'entourer votre selection

samedi 2 février 2008

America !

A cette heure, vous etes deux a avoir trouve. Voila la solution de la devinette, en musique ; profitez bien !

Les profiterolles au fromage remportent donc le cookie au chocolat. Je sais, dit comme ca, ca parait un peu obscur, mais bon, hein, si les gens qui laissent des commentaires avaient la decence de me donner leur vraie identite, on n'en serait pas la...

ROdolphe

P.S: Merci pour vos conseils typographiques en tout genre. Il est tres probable que, par pure feneantise, les accents decident quand meme de rester hiberner...